Fuck off, distille avec parcimonie et discrétion des « raisons de l’être », dessinées sur des bouchons en liège.
De la maladie, à la violence, différentes pistes viennent exprimer ces éléments, se coller, se lier, se nouer pour terminer en un cri de colère : « Fuck off ».
Les bouchons, en liège (matière organique) participent à la révolte. Ils permettent de faire entrer ces cris dans une temporalité, puisque le liège permet d’imaginer la reconstitution d’un arbre, tel un arbre de vie, marqué par des évènements, relié par ses tissus et expériences.
Enfin, l’année majoritairement évoquée par ces derniers est lourd de sens pour l’auteur.